Depuis le 1er janvier, les comités sociaux et économiques (CES) doivent avoir désigné leur interlocuteur au sein de l’entreprise. Cependant, cette avancée sociale est plus facile à instaurer dans les grandes que dans les moyennes et petites entreprises.
Tandis que les dénonciations du sexisme au quotidien dont sont victimes de nombreuses femmes n’en finissent plus de pleuvoir, la loi du 5 septembre 2018 « Pour la liberté de choisir son avenir professionnel » a apporté de nouveaux moyens de défendre les droits des salariés victimes de harcèlement sexuel au travail. Un référent « harcèlement sexuel et agissements sexistes » doit ainsi être désigné au sein de tous les Comités sociaux et économiques (CSE) depuis le 1er janvier.
Par Catherine Quignon – lemonde.fr – le 06 février 2019
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